[00:17.000]Enfants des alizés,
[00:21.000]qui chaque jour traversent les mémoires
[00:25.000]Sur les terres oubliées,
[00:28.000]et que l'on perd du regard.
[00:33.000]Rêveurs de pacotilles que l'on berce d'illusions !
[00:41.000]Les soldats de l'espoir ont quitté leur maison
[00:52.000]Les enfants de l'oubli
[00:55.000]n'oublieront jamais
[01:00.000]De prendre leur navire
[01:03.000]que les dieux ont donné
[01:07.00]Pour enfin exister.
[01:25.000]Les fils des vents soufflants
[01:29.000]Que les siècles ne retiennent pas
[01:33.000]Déposent des rêves sur l'océan
[01:37.000]Que les anges n'écoutent pas
[01:42.000]Sur leur terre dévêtus,
[01:45.000]Peuvent-ils avoir le droit ?
[01:50.000]De marcher sans se perdre
[01:52.000]Sur nos grandes avenues
[02:00.000]Les enfants de l'oubli
[02:03.000]n'oublieront jamais
[02:08.000]De prendre leur navire
[02:12.000]que les dieux ont donné
[02:16.000]Pour enfin exister
[02:33.000]Sur mon coeur j'écrirai ces lignes
[02:42.000]Pour qu' batte le rythme de cette marche infinie
[02:49.000]Vers les portes de la vie
[03:06.000]Les enfants de l'oubli
[03:09.000]n'oublieront jamais
[03:15.000]De prendre leur navire que les dieux ont donnés
[03:22.000]Pour enfin exister
[03:38.000]Pour enfin exister

Enfants des alizés,
qui chaque jour traversent les mémoires
Sur les terres oubliées,
et que l'on perd du regard.
Rêveurs de pacotilles que l'on berce d'illusions !
Les soldats de l'espoir ont quitté leur maison
Les enfants de l'oubli
n'oublieront jamais
De prendre leur navire
que les dieux ont donné
Pour enfin exister.
Les fils des vents soufflants
Que les siècles ne retiennent pas
Déposent des rêves sur l'océan
Que les anges n'écoutent pas
Sur leur terre dévêtus,
Peuvent-ils avoir le droit ?
De marcher sans se perdre
Sur nos grandes avenues
Les enfants de l'oubli
n'oublieront jamais
De prendre leur navire
que les dieux ont donné
Pour enfin exister
Sur mon coeur j'écrirai ces lignes
Pour qu' batte le rythme de cette marche infinie
Vers les portes de la vie
Les enfants de l'oubli
n'oublieront jamais
De prendre leur navire que les dieux ont donnés
Pour enfin exister
Pour enfin exister